La recherche du bien-être et ses pièges : souvent on pense que cela va durer, mais le bien-être ne dure pas !
On confond souvent le bien-être (ou bonheur), et le confort. Souvent, on mise tout sur le confort pour être heureux. Mais le confort ne dure pas. Ci-dessous est décrit tout le process de la recherche plus ou moins fructueuse du bonheur, et de ce qu'elle engendre.
La recherche du bien-être avec la médecine
Le bonheur est en soi
On nous dit souvent « il faut aller chercher le bonheur en soi ». Nous savons que c’est vrai, mais concrètement, comment faut-il s’y prendre ? On se met donc à la recherche de ce bien-être. Evidemment, étant donné qu’on le cherche dans le confort, notre démarche est vaine. Comme on ne le trouve pas, à la longue, on n’a pas trop le moral. Quoi de plus naturel que de finir par en parler à son médecin ?
Le rôle des médicaments
Lorsqu’il nous entend lui dire que ça ne va pas bien en ce moment, le médecin veut nous soutenir. Il ne peut le faire qu’avec son parcours. Ainsi, pour nous soutenir, le médecin nous prescrit un médicament. Or, le rôle des médicaments n’est pas d’arrêter une certaine forme de mal de vivre, mais de réparer ce qui est cassé intérieurement. En un mot, la pilule du bonheur n’existe pas ! Donc même avec les médicaments, on continue à aller mal.
Qu’en est-il du psy ?
Alors, on essaye une autre pratique répertoriée comme conventionnelle, et on va voir le psy. Mais faire un travail sur l’intellectuel ne suffit pas, très souvent : même lorsque l’on a la volonté d’aller bien durablement, cela ne fonctionne pas. Par moment, on peut s’apaiser, se raisonner, mais le côté « ça ne va pas bien » finit par revenir au galop. En un mot, ça ne dure pas !
La recherche du bien-être à la bonne franquette
La prise de produits et substances
Comme ça ne va toujours pas, on commence à se détourner des solutions conventionnelles de la santé, et on recourt à d’autres moyens. On commence à boire du whisky, et on va voir le dernier film qui vient de sortir. Sur le moment, l’esprit se détend, on se sent mieux… mais ça ne dure pas. Sans compter les mécanismes de dépendance se développant à cause de la prise de certaines substances. Au final, le mieux-être engendré par cela se transforme rapidement en mal-être, et vient en rajouter à la sensation initiale de cette forme de mal de vivre.
On continue donc à chercher.
Un leurre parfait
D’un côté, quelque chose nous dit que c’est possible d’aller mieux, durablement. En effet, ce fameux bonheur qu’il faut aller chercher en soi est bien présent, et pousse pour s’exprimer. Cependant, comme on ne sait pas comment aller le chercher, on cherche ailleurs. Mais on le ne trouve pas, et on se sent de plus en plus mal.
La recherche du bien-être avec les méthodes non conventionnelles
Les "médecines douces" sérieuses
Les pouvoirs publics ont répertorié plus de 400 pratiques non conventionnelles, pour la santé, en France. Il y a de quoi faire !
Le propre du non conventionnel est qu’il n’y a pas de cadre. Ainsi, chacun a le droit de pratiquer selon son propre feeling. On assiste alors à des cursus différents en yoga, sophrologie, en massage, en coaching, en relaxologie... Au final, 36 versions de la même pratique sont proposées sur internet, car chacun a sa compréhension de ce que doit être la pratique et rajoute « sa propre sauce ».
Souvent, il est difficile de trouver ce qu’on recherche. Les déceptions sont présentes : souvent les pratiques sont vendues comme efficaces, et l’on constate que cela va mieux sur le moment, puis à nouveau, ce qui prend le relais est « je ne me sens pas bien ». On peut aussi avoir à faire à des professionnels incompétents car non formés correctement.
Bref… le bien-être ne dure pas.
Comme le dit le Ministère de la Santé sur son site, le propre de ces pratiques de bien-être est qu’elles n’ont pas démontré scientifiquement leurs effets. Pour que cela fonctionne, et donc que le bien-être dure, l’on sait que le fondement de ces pratiques doit reposer non pas sur des affirmations invérifiables ou des croyances, mais sur le fonctionnement de l’être humain. C’est la phénoménologie et les neurosciences qui ont établi une cartographie, vérifiable, du fonctionnement de l’être humain.
Les médecines douces délirantes
Etant donné que notre recherche n’aboutit toujours pas, et que cela ne va toujours pas, on commence à essayer des pratiques basées sur des fondements irrationnels. On essaye donc quelque chose d’un peu plus loufoque : par exemple le stage miracle, où l’on est assis sur une chaise, avec une grenouille dans un bocal placé sur les genoux, et des ventouses collées dans le dos. Ca marche sur le coup, parce qu’on y croyait. C’est ce qu’on appelle l’effet placebo. Mais le propre de l’effet placebo est qu’il ne dure pas. A nouveau, le bien-être obtenu a duré un certain temps et a cessé.
On commence à zapper parmi les pratiques de bien-être. On se pend les pieds au plafond, le nombril à l’air, pour libérer les tensions. Tant qu’on y croit, cela fonctionne, toujours grâce à l’effet placebo… qui reste non durable. On peut donc chercher et zapper pendant longtemps !…
On peut aussi basculer dans des pratiques new age, comme l’énergie universelle, qui vient du cosmos, que l’on canalise chez la personne, et censée régler tout. Ce concept inventé en 1942 par le vietnamien Dang est répertorié parmi les pratiques sectaires. Malgré tout, il a été réutilisé par de nombreuses personnes et associé à la pratique du Reiki. Le Reiki n’a jamais été cela, puisqu’il s’agit de l’union de la relaxation et de la méditation par le toucher. Mais comme le Reiki relève du domaine non conventionnel, chacun a le droit d’y ajouter « sa propre sauce » et de faire croire qu’il fait du Reiki.
En un mot, il existe beaucoup de pratiques new age, basées sur le côté magique et miraculeux, faisant appel à des fondements invérifiables et non scientifiques, qui se sont infiltrées dans le bien-être.
Mais la personne, à la recherche du bonheur, et ne trouvant pas ce bien-être durable malgré ses recherches, va de moins en moins bien. D’un côté, elle sait que ce bonheur existe et est en elle, de l’autre côté, elle n’arrive pas à y accéder.
A ce stade, la personne est prête à tout. Elle est prête à croire tout ce qu’on lui raconte, pourvu que cet espoir d’aller mieux reste présent !
Le piège des gourous et des sectes
A ce stade, elle est prête pour suivre la personne peu scrupuleuse, engouffrée dans le business du bien-être, qui sait bien profiter de sa détresse psychologique et sait lui tenir le discours qu’elle veut entendre, à savoir que le miracle d’aller mieux est encore possible.
Il faut comprendre que la personne, qui va de plus en plus mal malgré les efforts fournis et ses recherches, est prête à croire tout et n’importe quoi, pourvu que son mal-être s’arrête enfin !
La recherche du bien-être avec le reiki
Attention au reiki ésotérique
Dans ce contexte, et comme le reiki appartient aux méthodes non conventionnelles, qui ne sont pas encadrées, nous ne pouvons que recommander de vérifier le professionnalisme et la transparence de l'organisme de formation qui propose des formations de reiki.
Le véritable rôle du reiki : accéder au bien-être DURABLE
Tant qu’il n’y a pas de transformation intérieure de la souffrance naturelle, le bien-être ne peut pas durer, mais ne peut être que construit. S’il a un début, il a une fin. Et le « ça va pas, je n’ai pas le moral », finit toujours par reprendre le dessus.
Aller chercher en soi le bien-être naturel et durable, avec une démarche de transformation de la souffrance, est le sens du reiki.
Son fondement est basé sur l’union de la relaxation et de la méditation par le toucher. Des études cliniques internationales ont prouvé les bienfaits de la relaxation et surtout, de l’effet durable de la méditation.
L'approche du reiki repose sur la vérification scientifique, à travers les neurosciences et la phénoménologie.
Bien évidemment, il serait utopique de croire qu'une séance de reiki suffit à régler définitivement vos problèmes.
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